CEFIL / Centre d'Etudes et de Formation Intégrée du Léman
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Formation pour adulte à Morges, Lausanne et Genève

Actualités

Cours via plateforme numérique

Posté le 25 mars 2020 sous Actualités, Communiqués

Information à tous nos participants :

Durant cette période particulière que tout le monde traverse, l’équipe du Cefil a sélectionné une série de liens que vous pouvez utiliser pour renforcer vos connaissances en informatique. Nous vous encourageons à le faire si vous avez du temps et le matériel à disposition.

Nous espérons que vous affrontez ce moment avec force et sérénité et nous réjouissons déjà de vous retrouver dès que les cours pourront reprendre.

L’équipe du Cefil

Tous les liens sont gratuits. Attention aux limites dans le temps et aux publicités. 

 

Office en ligne (Word, Excel) :

https://portal.office.com (Il est important d’avoir un compte Microsoft, donc une adresse Hotmail ou Outlook)

Premier pas en informatique

Lien Tap’touche : https://cefilcef.taptouche.com/connexion/

Quiz sur les composants d’un ordinateur : https://quizlet.com/_625g2f?x=1jqt&i=1gubtt

Quiz sur les périphériques : https://quizlet.com/_6biptx?x=1jqt&i=1gubtt

Grand Quiz PPI melting pot : https://quizlet.com/_66plax?x=1jqt&i=1gubtt

https://cours-informatique-gratuit.fr/cours-windows-debutant/

Traitement de texte

https://www.alphorm.com/tutoriel/formation-en-ligne-word-2016-initiation  (gratuit jusqu’au 13.04.2020)

https://cours-informatique-gratuit.fr/cours-windows-debutant/

Internet 1

Quiz sur le mail : https://quizlet.com/_632bua?x=1jqt&i=1gubtt

Internet 2

Quiz sur le web : https://quizlet.com/_6g1wnf?x=1jqt&i=1gubtt

Internet 3

Adresses de moteurs de recherches alternatifs à découvrir :  https://www.lilo.org/fr/ , https://www.ecosia.org , https://swisscows.ch/

Émission nationale de 2018 sur les données numériques : https://www.rts.ch/decouverte/sciences-et-environnement/technologies/dataland/

Émission On en parle “Gérer ses données numériques” : https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/06-02-2020#11034580

Émission A bon Entendeur  “Les arnaques sur Internet” http://pages.rts.ch/emissions/abe/8282251-des-escrocs-dans-vos-ordinateurs.html

Tableur

Utilisation (trucs et astuces) https://www.excel-exercice.com/

Formation Excel gratuite en ligne

https://www.excel-pratique.com/fr/formation-excel

Cours généraux

Windows – Internet/mail – Bureautique : https://cours-informatique-gratuit.fr/cours-windows-debutant/

Tablettes/Smartphones

Smartphone/Tablette Apple : https://cours-informatique-gratuit.fr/cours-iphone-ipad-debutants/

Smartphone/Tablette android : https://cours-informatique-gratuit.fr/cours-android-debutant/

Nos prochaines formations à Morges

Posté le 10 avril 2019 sous Actualités, Formations

Secteur “Maintenance immobilière et Développement durable”

  • Agent-e de maintenance 
    –
    du 2 mars au 10 avril 2020
  • Nettoyeur-euse qualifié-e 
    – du 8 au 19 juin 2020
  • Praticien-ne en Agenda 21 
    –
    du 23 mars au 24 avril 2020
     Formulaire d’inscription à télécharger

Nos prochaines formations à Genève

Posté le 10 avril 2019 sous Actualités, Formations

Secteur “Maintenance immobilière et Développement durable”

  • Responsable d’immeubles (cours agréé par le Chèque Annuel de Formation – n° 3023)
    – du 27 avril au 26 juin 2020
  • Aide-jardinier-ère (cours agréé par le Chèque Annuel de Formation – n° 3581)
    – du 2 au 20 mars 2020
  • Agent-e de maintenance bâtiment (cours agréé par le Chèque Annuel de Formation – n° 3540)
    – du 23 mars au 3 avril 2020
  • Nettoyeur-euse qualifié-e (cours agréé par le Chèque Annuel de Formation – n° 3582)
    – 
    du 20 avril au 1er mai 2020
  • Praticien-ne en Agenda 21 (cours agréé par le Chèque Annuel de Formation – n° 3022)
    – 
    du 23 mars au 24 avril 2020

Formulaire d’inscription à télécharger

L’échec

Posté le 19 octobre 2018 sous Actualités, Blog des formateurs

Vivre, avec le temps, c’est un perpétuel bouleversement. L’évolution est partout. L’homme développe sans cesse des recherches, des idées, des produits. Tout est nouveau. Nouveaux voisins. Nouvelles rencontres. Nouveaux job. Nouveaux collègues. Nouveaux clients. Nouveaux marchés. Nouvelles lois. Nouvelles modes. Nouvelles technologies. Tout évolue. Tout se succède à un rythme effréné. Ce que l’on connait aujourd’hui, ne le sera plus demain. On est sous pression. Il faut en permanence s’adapter à tout. On a le sentiment de plus en plus fort que se reposer, c’est s’enliser. Plus fort encore: il faut réussir. Le culte de la réussite est devenu roi. Que seul compte le succès, l’échec est inenvisageable.

La vie fluctue. Les indicateurs de vie sont multiples. On analyse tout. On se fait analyser. C’est l’évolution. Le hasard est banni. Les cycles sont de plus en plus rapides. Tout s’accélère quand en même temps, le temps de digestion d’une situation se raccourci. Alors si on ne parvient pas à suivre le même rythme, on est vite éjecté. On fait croire que vous n’êtes plus dans la course. Que vos méthodes sont dépassées. Et pourtant, l’expérience nous démontre que seule l’action réfléchie possède les ferments de la meilleure voie. C’est là l’espace entre réussir et échouer. Même si perdre fait partie du jeu. Même si perdre nous fait grandir davantage que réussir. Car perdre ou réussir, quand on a tout tenter, peu importe le résultat, c’est d’abord un succès sur soi. Perdre sans essayer, c’est un échec assuré et définitif.

L’échec est un élément constitutif de notre chemin. Avant de marcher le bambin est tomber souvent. Et trébucher est normal. Comme savoir se relever aussi. Savoir recommencer. Savoir apprendre de ses échecs pour être meilleur. Ce sont des éléments constitutifs de notre ADN. Pourtant dans notre société, la notion d’échec est toujours un signe négatif. D’ailleurs, peu importe le type d’échec, il est toujours compris comme une défaite personnelle. Et c’est faux. On idolâtre toujours ceux qui réussissent. On admire. On envie. On veut s’identifier. C’est l’image d’Epinal qu’on veut nous montrer. Cependant, c’est faire peu de cas des grandes réussites, qui ont toutes été fécondées par le terreau de nombreux échecs préalables.

Or ce que l’on oublie. Malgré qu’on le sache déjà en nous. La réussite ne se trouve pas toujours sur le chemin. La réussite se mérite. Elle se gagne par la force. Par les contraintes. Par la volonté. Par le savoir. Comme dans une compétition. Il y a des gagnants et des perdants. Car pour réussir, il est toujours bon de savoir ce qu’il ne faut pas faire.

Jacques Dozio

Une nouvelle formation

Posté le 14 août 2018 sous Actualités, Blog des formateurs

Lancer une nouvelle formation, demande une bonne dose de savoir faire. Et pour réussir, il faut un esprit entrepreneurial et la chance d’avoir la bonne idée au bon moment. D’avoir un marché qui correspond à une demande. Avoir pu identifier les besoins de clients potentiels. Ainsi que d’avoir pu cerner la concurrence. Pourtant, l’idée bonne ne suffit pas. Il y a de fortes chances pour qu’une idée s’enlise, si elle n’est pas prise à bras le corps. Si elle n’est pas maîtrisée avec des outils d’analyse forts.

L’analyse des zones d’ombre du projet est essentiel. Faire un Business Plan. Chercher à comprendre vers quoi on veut aller et comment y parvenir. Trouver les ressources nécessaires. Connaître le point d’équilibre économique et avoir les fonds d’investissement de départ. En outre, il faut savoir prendre le temps et les appuis pour s’attaquer aux changements nécessaires. Car toutes nouveautés apportent immanquablement des changements. Et les changements effraient. Alors, parfois il vaut mieux demander de l’aide. Contacter des spécialistes. Echanger avec le public cible. Partager les expériences avec les utilisateurs. Créer des partenariats. Planifier les objectifs et mettre de l’exigence dans chaque étape.

Voulons-nous vraiment atteindre ce que nous avons cru? Ou quelles sont les autres alternatives? Et souvent : Avons-nous un autre choix que d’aller de l’avant pour le futur ?

Par ailleurs, il faut savoir rester humble. La vie est faite de bouleversements, de nouveau acteurs, de nouveaux marchés, de nouveaux clients. Tout change, tout le temps. Le neuf, le nouveau et l’avant garde, se succèdent à un rythme effréné. Il faut savoir être prêt. Même si les technologies ouvrent des possibilités vertigineuses, qui semblent illimitées. Chaque fois on est sous pression. Avec la crainte permanente de manquer le coche. Pourtant se reposer, c’est s’enliser. Cela rend notre quotidien encore plus tumultueux et éprouvent. Dans un contexte d’évolutions exponentielles, où seul compte le succès. L’échec est inenvisageable.

L’échec est un élément constitutif de la vie, tout comme perdre fait partie du jeu. Comme aussi se relever pour recommencer.

Alors qu’on veuille ouvrir une nouvelle formation, créer son entreprise, ou plus simplement : changer sa vie ; il faut d’abord combattre tous les démons qui nous habitent et être sûr d’une chose : ce n’est que dans l’action qu’on fait bouger et prospérer les choses.

Jacques Dozio

La motivation

Posté le 19 juillet 2018 sous Actualités, Blog des formateurs

La motivation se construit. Elle s’apprend, s’entraine. Il y a des formations pour cela. Prendre de l’assurance. Adapter ses connaissances aux objectifs. Se remettre en question.

Toute structure professionnelle, avec son leader en tête se doit d’inspirer une atmosphère ambitieuse. Faire apparaître les trésors en chacun. Donner du sens, de l’envie. Être un leader, un vrai, se doit de montrer la voie. Le cap. La baliser comme ces petites lumières au bord de la piste d’envol. Dans toutes situations, le leader responsable commence par chercher le pourquoi. Puis il communique en permanence et explique. Rassemble. Le pourquoi devra s’identifier à la vérité. Toujours sur la vérité. Ne pas falsifier les actions par un manque de transparence. Pour tricher et masquer les incompétences. Trop souvent, les collaborateurs, les troupes ne savent plus ce qu’ils font, éventuellement comment ils le font, mais pas pourquoi. A long terme, la machine se grippe. Tout devient démotivant.

Parfois, un leader pense que ses employés sont contents au travail. Il s’en persuade plus qu’il en a l’intime conviction. Alors qu’ils se posent de multiples questions. Ils gambergent. Ils travaillent moins bien. Ils deviennent moins solidaires. Moins constants. On n’est plus dans l’époque où les ouvriers faisaient les choses à la chaîne sans comprendre. Or c’est l’inverse! La motivation naît du pourquoi des choses. Donner du sens et un éclairage sur l’horizon. Dire: on va là!

Le leader doit apprendre à apprendre. Apprendre à conduire. Apprendre à écouter, à voir. Apprendre à faire confiance. Il n’a pas toutes les connaissances, alors il se forme. Sans formation, sans aide, il ne fera pas illusion longtemps. La vague du mécontentement et des résultats négatifs le submergeront tôt ou tard.

La motivation, si elle est un moteur, ce n’est pas forcément un gage de succès ou être capable de réussir. Bien des obstacles, bien des efforts, voir des désillusions sont présentes. L’échec peut être présent dans la motivation. Surtout si l’on est persuadé d’avoir agi avec toute la volonté de réussir. Cependant très souvent le pourquoi des problématiques naît du manque de communication ou du management lacunaire. Le leader n’est pas à la hauteur de la tâche. Il est dépassé. N’ose plus admettre ses incompétences. Alors qu’il devrait demander de l’aide ou écouter les conseils de l’extérieur ou encore davantage : se former. Les collaborateurs ne savent plus où va l’entreprise. Il n’y a plus de cap. Le flou, le brouillard des indécisions masquent les objectifs, jusqu’au jour où tout dépasse le ressenti interne sur l’extérieur. Alors si rien ne change brutalement, la perte de crédibilité auprès des clients est rapide.

Travailler sur la motivation demande de l’engagement. Du charisme souvent. Trop souvent cela rebute le manager. Il croit perdre du pouvoir. S’il est confronté à un ego surdimensionné, l’échec est garanti. Pourtant perspective et empathie sont les deux composantes du leader inspirant. La transparence en est la voile. Il se doit de provoquer auprès de ces collaborateurs un niveau d’engagement important: faire ce don pour quoi je suis bon, faire en sorte qu’on suit un bon manager, donner de l’autonomie, de la confiance, créer un climat de sécurité. Les employés veulent d’un leader exemplaire qui se soucie d’eux. Un environnement sûr. Alors prendre des risques et aller plus loin devient possible. C’est une source d’inspiration qui porte les gens à se surpasser.

“Êtes-vous capable de devenir un leader, quelqu’un pour qui on est prêt à prendre des risques, un leader qui motive, qui entraine? Si c’est non, vous allez perdre l’appétit pour relever des défis. La confiance disparaîtra. Il sera temps alors de changer de cap”.

Que ce soit en affaire, dans sa vie privée, on est toujours une fois leader d’un projet. Dans chacun d’entre nous un leader sommeil, il est donc indispensable de se former à se réaliser, à prendre confiance.

Jacques Dozio

Le cycle de vie

Posté le 9 juillet 2018 sous Actualités, Blog des formateurs

Aujourd’hui, les équilibres de la vie sont de plus en plus menacés. On se comporte en prédateur de tout. Sans distinction. Juste avec le besoin d’exister à travers le futile et le mercantile. On ne réfléchit plus en terme de durabilité. On s’impose alors des lois, des normes, des labels pour mieux se persuader qu’on agit. On parle de cycle de vie, en sondant ses clients pour capter leurs besoins au plus près. On passe des journées à créer des indicateurs, des certitudes d’évaluation, afin d’obtenir des réponses. On transforme le bon sens, en bon de certitude, en bon de preuve. On s’achète une bonne conscience, avec la certitude de croire qu’on est dans le juste. Mais… changeons-nous réellement dans nos actes.

Quand une idée nouvelle germe dans le cerveau, après maints avatars, cela donne dès lors, naissance à un nouveau geste, une nouvelle envie, un nouveau produit ou service. L’ivresse d’entreprendre naît. Pourtant la bonne conscience insuffle un devoir: imaginer le cycle de vie de cette idée. Car une fois développée à travers des arguments économiques, 95% des cas, cette approche améliore la compétitivité, notamment par une réduction de matière, de temps, qui engendre une baisse des coûts, des impacts maîtrisés sur l’environnement et aussi une meilleure interaction entre les différents acteurs. Sans compter le bien être social qui se marie avec l’esprit de solidarité et de responsabilité.

Pour que cela fonctionne aujourd’hui, il est nécessaire que l’écoconception se généralise. Que chaque goutte d’eau que nous sommes, dans cet océan humain, apporte sa contribution. C’est cette seule impulsion du plus grand nombre, qui pourra imposer l’évaluation des cycles de vie de chaque geste, des produits ou services soit généralisés. Encore faut-il que le plus grand nombre l’adopte, depuis son entourage jusqu’à tous les collaborateurs d’une entreprise. Dans n’importe quel cercle privé ou professionnel, branche ou secteur économique, parler le même langage. Les managements environnementaux sont encore trop souvent considérés comme des faire-valoir que l’on écoute avec un semblant de bienveillance. Que l’on considère plutôt comme des empêcheurs de tourner en rond. La communication verbale n’ayant plus aucune force de persuasion, seule l’exemplarité de l’action peut le permettre.

Parfois, l’on se sent démuni, par manque de connaissance, par manque de légitimité. Alors qu’il suffit de se former. Le recours aux bonnes pratiques. Connaître les principes, les technologies existantes, les modes de faire, les sciences. Tout ceci est accessible. Grand nombre de formations existent, ouvrent de multiples portes en termes d’opportunités et d’emplois nouveaux.

En définitive, il n’est plus concevable, eu égard à l’état de la planète, de négliger les impacts de nos comportements, des produits et services sur l’environnement. Un changement radical des mentalités s’impose pour que l’étude du cycle de vie devienne une pratique courante dans toutes nos activités, qu’elles soient privées ou économiques. Notre avenir en dépend et celui de nos descendants encore davantage. Pour que cela ne soit pas une contrainte mais une dynamique. Soyons les ambassadeurs d’un comportement responsable de la vie. Il importera de sensibiliser tous les acteurs, son voisin, sa famille, ses amis, du producteur au consommateur, par une pédagogie sans cesse enrichie de multiples exemples réussis. Seul ce que je fais reste un outil d’influence. Soyons donc exemplaire.

Jacques Dozio

 

Un emploi à vie

Posté le 13 juin 2018 sous Actualités, Blog des formateurs

L’un des rêves de beaucoup de gens est d’accéder à un emploi à vie. Un emploi où les perspectives d’un licenciement n’existent pas. Car l’emploi est perçu comme le seul remède à la précarité, mais aussi et surtout, comme un facteur incontournable pour accéder aux biens matériels et à un certain statut social.

Pourtant, comment peut-on sacrifier son temps de vie dans un même emploi ? Vivre toujours des mêmes habitudes ? Suivre immuablement les mêmes professions que nos ancêtres ? Vivre au même endroit ? Et que fait-on du droit de changer d’emploi ? Comment oser rattraper ses rêves ? Se réaliser. D’accéder à une nouvelle profession ? De pouvoir bénéficier des moyens de se former pour pouvoir l’exercer ?

Aborder l’avenir et son lot d’incertitudes, pousse l’être humain à se rassurer dans le conventionnel. A puiser dans les habitudes du passé. Seuls objectifs : éviter le chômage, le désarroi, la précarité, l’insécurité. Pris dans l’engrenage de la pensée unique. Je ne suis pas responsable, on m’a obligé à… On se victimise. Alors ne devrait-on pas plutôt revendiquer le contraire. Prendre le droit de ne pas être enfermé dans sa vie. Dans sa seule vie, dans un seul métier, une seule compétence. Dans le carcan de l’immobilisme.

Pour changer, il faut être audacieux. Il faut vouloir oser. Comme si quelqu’un à qui on proposait de sortir de prison réclamait d’y être enfermé à vie et de jeter la clé dans un puits.

La lumière ne peut venir que du changement d’état d’esprit. Que de l’envie à tous âges, de vouloir changer. De se former. En conquérant le droit et les moyens de trouver ce qu’on a envie de faire de sa vie. Le droit de devenir simplement soi. Sans attendre que les autres décident pour soi.

En prenant le chemin de revisiter ses envies. De remodeler ses ambitions en se prenant en main pour accéder à des métiers souhaités et non imposés. Choisir d’utiliser ses propres ressources pour les entrainer à plus d’exigences. Reprendre le chemin de l’école pour acquérir de nouvelles compétences. Car ce que l’homme est, c’est par sa propre humilité qu’il grandira.

Jacques Dozio

Trouver un emploi, un job à apprendre

Posté le 8 octobre 2016 sous Actualités, Blog des formateurs

Premier emploi, nouvel emploi, changer d’emploi. Peu importe la situation, le dénominateur commun est : comment savoir se vendre ? C’est aujourd’hui un métier, une nécessité, une obligation, au même titre que de savoir marcher, lire ou écrire.

Cela s’apprend. Cela demande organisation, stratégie et détermination. C’est un métier et il faut le concevoir comme tel. Ceux qui prennent cette démarche à la légère iront de désillusions en désillusions. Il  faut donc tourner le dos aux croyances et certitudes, ancrées dans notre esprit. Croire qu’il suffit de répondre à une annonce ou envoyer des offres spontanées soit suffisant, est faux. Croire que c’est facile ou que seul la chance est en cause, est faux. L’approche suppose une véritable remise en question.

Trouver un emploi demande motivation, volonté, affirmation. Savoir se prendre en main. S’il y a une volonté, il y a un chemin.
D’abord, la recherche d’emploi est une question d’information, de bon sens, d’organisation mais aussi de savoir faire. S’informer est donc une démarche primordiale.
Êtes-vous sûre que le secteur d’activité où vous voulez travailler est porteur en terme d’emploi et de futur ?
• Quelles sont les principales entreprises du secteur que vous visez ?
• Que savez-vous des habitudes de travail dans l’entreprise qui vous intéresse ?
• Que connaissez-vous des succès qui jalonnent le développement de l’entreprise que vous visez ?
• Qui sont les personnes dirigeantes de l’entreprise que vous visez ?
• etc.

Toutes ces questions doivent vous permettre, le moment venu, d’avoir quelque chose à dire de pertinent et d’intéressant lors de la rédaction de vos lettres de motivation qui est, avec le CV, l’un des sésames indispensable pour trouver un emploi. Le CV est un outil important mais ne fait pas tout : un bon CV ne vous garantira pas de trouver un emploi, mais un mauvais CV, ou médiocre, vous handicapera de manière importante dans votre recherche d’emploi. Alors mettez toutes les chances de votre côté, votre CV doit être au top, à la fois sur le fond et la forme. Même chose pour votre lettre de motivation, et votre dossier de candidature en général. Une lettre de motivation est une lettre de séduction, il faut séduire son interlocuteur en parlant de lui et non de soi. Dès lors que l’entreprise est intéressée, elle provoquera un entretien.

Que ce soit dans son dossier ou lors d’un entretien, il est important de ne pas mentir ou « d’arranger » ses anciens postes ou son niveau de langue.
Le premier réflexe lorsqu’on recherche un emploi, c’est naturellement la prise de connaissance des offres d’emploi dans les annonces: c’est indispensable de procéder de la sorte, mais il est important de ne pas faire que cela, car certaines techniques ou certaines recherchent seront bien plus efficaces que d’autres. En particulier, le réseautage, qui est probablement un des moyens les plus efficaces mais également le plus difficile à mettre en œuvre. Une bonne technique de réseautage peut être très efficace, et bien plus que répondre exclusivement à des offres d’emploi ou envoyer des candidatures spontanées.

Les réseaux sociaux sont devenus pratiquement incontournables. Incontournable en ce sens que les réseaux sociaux permettent de trouver des contacts, se faire connaître etc.
La question est : Comment être capable d’aller vers des entreprises qui ne demandent rien ? De découvrir leurs projets dormants, leurs problématiques, leurs enjeux. Être à l’écoute active, sans jamais se positionner en candidat et s’en remettre au bon vouloir des décideurs. Pour enfin se faire embaucher et  tenir ses  promesses en termes d’apport de valeur. Soyez sûr d’une chose : quelle que soit la façon dont vous trouvez un emploi, si vous ne créez pas une valeur suffisante qui justifie votre salaire, vous ne le garderez pas.

Pour y arriver, cela suppose des  efforts pour acquérir deux capacités-clés :
• La proactivité, la capacité à se positionner en force de proposition, pas en candidat : se demander ce que je peux faire pour l’entreprise avant de se demander ce qu’elle peut m’apporter.
• Les compétences transverses,  extérieures à ma spécialité professionnelle,  déterminent ma capacité indispensable à valider un  projet dans toutes ses dimensions y compris celles qui ne sont pas de mon domaine (informatique, langues, permis de conduire).

Imaginez le cas suivant : vous êtes un brillant vendeur, vous identifiez comment faire gagner des centaines de milliers de francs par an à une entreprise en réorganisant son point de vente ; vous chiffrez le coût de l’investissement, de l’organisation nécessaire à l’acquisition de gammes de produits nouveaux. Si vos  réponses sont crédibles, vous démontrez la faisabilité de vos solutions et multipliez vos chances d’aboutir. Pour  y parvenir, vous devez utiliser des compétences transverses, en plus de vos compétences purement techniques. Il faut savoir anticiper ce genre de situation et donc se former.

Dans cette quête à l’emploi, il faut savoir gérer son temps, et être pragmatique, patient, vos recherches pourront prendre jusqu’à plusieurs mois. Si après avoir envoyé plusieurs dizaines de candidatures vous n’avez aucun retour, c’est qu’il y a quelque chose dans votre dossier de candidature qui ne va pas, ou que le marché de l’emploi pour le secteur que vous visez est très concurrentiel. Dans les deux cas de figure, vous devrez changer de stratégie et vous adapter. Si vous attendez seulement qu’on sonne à votre porte, vous attendrez l’éternité !

En conclusion, trouver un emploi est un métier et il est indispensable d’avoir une démarche professionnelle, il faut se former afin de connaître tous les outils permettant de positiver ses démarches. Parfois d’avoir recours à un coach professionnel aide grandement. Mais l’essentiel est dans l’énergie que vous y mettrez et là votre confiance en vos capacités sera primordiale.

Jacques Dozio

Source :  http://www.travailler-en-suisse.ch/offres-emplois-suisse.html

Chèque Annuel de Formation – CAF

Posté le 4 octobre 2016 sous Actualités, Communiqués
Les personnes domiciliées à Genève ont la possibilité de demander le Chèque Annuel de Formation (CAF) pour certaines formations du CEFIL.

Qu’est-ce que le Chèque Annuel de Formation (CAF) ?
Ce chèque de Fr. 750.-/an au maximum vise à financer des cours de formation utiles sur le plan professionnel, dispensés par des établissements d’enseignement du canton de Genève. Il peut être délivré trois années de suite ou en une seule fois selon le type de cours que le participant souhaite suivre.
Le Chèque permet de financer tout ou partie d’un cours (écolage et taxe d’inscription) qui doit être utile sur le plan professionnel. Le cours choisi sera d’une durée minimale de 40 heures.
Qui peut en bénéficier ?
  • Les personnes majeures domiciliées et contribuables dans le canton de Genève depuis un an au moins au moment du début de la formation demandée.
  • Les personnes majeures qui sont au bénéfice d’un permis de travailleur frontalier depuis un an au moins au moment du début de la formation demandée.
  • Les Confédérés majeurs domiciliés en zone frontalière et qui travaillent dans le canton depuis un an au moins au moment du début de la formation demandée.
Cliquez sur le lien pour ouvrir le dépliant
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